Alors autant le dire tout de suite, la faune est, malgré la présence notoire d’un pouvoir d’achat aussi lifté que la septuagénaire typique du lieu, la faune donc est diverse, principalement beige, et en très grande partie germanique.
En effet, et allez savoir si c’est dû à la fraîcheur matinale de la lande, à l’usage primaire du beurre plutôt que de l’huile d’olive dans la cuisine insulaire, ou l’absence de transats sur les plages, remplacés par des „Strandkörbe“, certes plus adaptées au vents mais moins envisageables pour les bains de soleil intégraux, mais je veawe, comme dirait Donald, donc, pour en revenir où j’étais, ce qui est paradoxal, soyons honnête, puisque j’en suis parti de mon plein gré, mais je me disperse encore, donc, voulais-je relever tout en me regroupant, on ne trouve quasi pas d’ibériques, de lusitaniens ou de chanteur de bel canto sur l’île, sauf dans de rares et heureusement évitables pizzeria aux noms évocateurs de lendemains qui déchantent.
Même les néerlandais sont rares, ce qui en dit long sur l’homogénéité de la population touristique de l’île.
Revenons alors à ces intéressants exemples de mobilier plagistique que sont les Strandkörbe : issues d’une société traditionnelle et prude, mais néanmoins ouverte, elles proposent deux places non genrées, couvertes, avec repose-pieds intégrés, plateaux à fischbrötli et orifices destiné à sécurisé le verre de houblon ou de Seco contre les sautes de vent inopinées.
Elles sont utilisées par toutes sortes d’espèces balnéaires, dont voici quelques exemples saisis au vol :




Et la flore, qu’en est-il ?
Et bien elle va bien, vous salue en passant, et me souffle à l’oreille de bien vous rappeler de rester tuné, dont acte 😉

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