Bon, ben avant d’être cuit et recuit et braisé (si si, avec le « r ») et passé à la plancha et bouilli au micro-onde, on va rentrer, hein ?

Alors, et comme tu as été, chère lectrice, cher lecteur, bien brave durant ces sept semaines de posts sans coccyx ni cranium , je te fait un dernier coucou avec quelques images commentées, glanées ces derniers jours dans les cryptes obscures, les chapelles oubliées, les cathédrales endormies et les basilique hantées de la péninsule italienne, car oui, nous sommes déjà en Italie, par la grâce du ferry, enfin quand je dis grâce, faut s’entendre : rien de moins gracieux que ce genre de navire, où se groupent en grappes de bruyants bataves visiblement heureux de raconter leurs héroïques aventures caravanesques, entrecoupant leur récit homérique et sonore de grandes lampées de liquide jaunâtre et mousseux.
Bref, j’ai se nouveau du matos pour laisser libre cours à mon iconoclastie maladive.















Et la petite dernière, au Simplon, because le Gothard c’est mieux bouché que les sinus de ma femme, et pour vous souhaiter un bel été, portez vous bien, on vous … Quoi ? Quoi les têtes ? Hein ? Ah, les têtes ! Ben oui, je me suis bien foutu de la tienne, tu y as cru, avoue ..
Non, en fait, cette pirouette bien faible pour te dire que j’ai tout un matos de têtes en photo, glané dans les différents musées des sites de tout poil, et j’avais bien pensé en faire quelque chose, mais franchement j’ai pas trouvé l’inspiration, alors je skippe. Tu vois, je sais me retenir, contrairement à ce que dit ma femme, concernant la nourriture, je précise, des fois qu’il y aurait des esprits mal tournés …
Allez, cette fois c’est la bonne, retour au bercail, et prochain blog on sait pas trop, on verra, mais sans doute pas avant le printemps prochain, pour cause de vente de la maison et déménagement et tout ça tout ça.
Grôsses bises,
Ton Chrônicoeur

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