Iconoclaste, irrécupérable, et fier de l’être !

Après une première nuit dans Mazette, au calme, sur la propriété d’un charmant couple d‘Italiens aux nombreuses heures de vol (référence à l’aéronautique, et pas à la réputation des transalpins, voyons …tsss), à une quarantaine de minutes au sud de Padoue, nous mettons les roues en direction de notre prochaine et dernière étape au pays merveilleux des pâtes somptueuses, des pizzas qui croquent et des vins qui mettent de bonne humeur.

Cette étape est Urbino, dont on dirait qu’elle a gardé au fil des siècles son apparence d’origine. Une sorte de ville (bourg) monument. Très chouette. Évidemment des églises, et des palais ducaux, comme à Padoue, ce qui va me permettre d’entamer un nouveau chapitre de « Si les icônes m’étaient contées ».

Z’êtes des veinards, mais profitez, c’est pas dit qu’il y ait, au pays des pâtres barbus et de la fêta en vrac, autant de matière à déconner …

Romain à court de linge attendant son tour chez le blanchisseur

Acrobates malchanceux, victimes d’une faute d’icare

Fin de concert des Sexus Pistolus, comme quoi pêter sa guitare se faisait déjà au temps des toges et des drapés savants.

Homme politique romain pratiquant la promesse électorale « à droite et à gauche », pratique dite aussi du « double pipeau » ou « enfumage stéréophonique »

Comme quoi bien avant les écossais, les enfants romains se posait déjà la
question de savoir si les hommes portaient quelque chose sous leur jupettes. Ce qui poussera certains hommes d’église à profiter de cette curiosité bien enfantine, mais ceci est une autre histoire.